15 Juin 2025, dim

Le guide suprême iranien défie Washington : « Une gifle sévère attend ceux qui menacent notre nation »

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Ali Khamenei a profité d’un discours télévisé à Téhéran pour rejeter fermement les « menaces » des États-Unis et avertir Washington que de telles pressions resteraient vaines . Le guide suprême iranien a déclaré que « les Américains doivent savoir que les menaces ne mènent nulle part face à l’Iran », promettant « une gifle retentissante » à quiconque attaquerait la nation . « S’ils nous menacent, nous les menacerons en retour », a-t-il martelé, en promettant une réponse immédiate à toute atteinte à la sécurité de l’Iran . Ces déclarations interviennent alors que l’ex-président américain Donald Trump a récemment adressé une lettre aux dirigeants iraniens, proposant une reprise des négociations sur le programme nucléaire de Téhéran, tout en brandissant la menace d’une action militaire en cas de refus.

Une lettre de Trump entre ouverture diplomatique et ultimatum

Les tensions entre Washington et Téhéran ont connu un nouvel épisode début mars, lorsque Donald Trump a confirmé avoir écrit au guide iranien pour l’exhorter à « négocier un nouvel accord nucléaire » . Le contenu de cette missive, remise en main propre à Ali Khamenei par un émissaire des Émirats arabes unis (l’ancien ministre Anwar Gargash) , s’apparente à un ultimatum : selon des sources américaines, M. Trump y fixe un délai de deux mois pour parvenir à un accord, faute de quoi l’Iran s’exposerait à une possible intervention militaire américaine . « Toutes les options sont sur la table », a averti de son côté le conseiller à la sécurité nationale Michael Waltz, en sommant Téhéran de renoncer à « [s]es missiles, [sa] militarisation et [ses] enrichissements » sous peine de « toute une série d’autres conséquences » . Donald Trump lui-même a prévenu qu’en l’absence de compromis « si nous devons intervenir militairement, ce sera une chose terrible pour eux » , soulignant qu’il était déterminé à empêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire « d’une manière ou d’une autre ».

Du côté de Téhéran, la réaction officielle est empreinte de défiance. Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a jugé que la lettre américaine était « plus une menace qu’une ouverture », tout en notant qu’elle semblait comporter « des opportunités » de dialogue . Il a indiqué que les autorités iraniennes « évaluent en détail » la proposition et publieront une réponse « dans les jours à venir » . Araghchi a toutefois immédiatement rappelé sur le réseau social X qu’« le gouvernement des États-Unis n’a ni le pouvoir, ni le droit de dicter la politique iranienne. Cette époque s’est terminée en 1979 », en référence à la Révolution islamique qui mit fin à l’influence américaine en Iran . De son côté, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a confirmé que la lettre était en cours d’examen, tout en dénonçant le mélange d’« une branche d’olivier et de nouvelles menaces » qu’elle contient . Autrement dit, Téhéran ne ferme pas totalement la porte à des pourparlers, mais refuse qu’ils se tiennent sous la contrainte.

L’accord de 2015 à la rupture de 2018

Pour comprendre ces échanges, il faut rappeler l’historique du dossier nucléaire iranien. En juillet 2015, après de longues négociations, l’Iran et le groupe dit P5+1 (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU plus l’Allemagne) ont conclu l’accord de Vienne sur le nucléaire iranien. Ce pacte, également connu sous son acronyme anglais JCPOA, prévoyait la levée d’une partie des sanctions internationales frappant l’Iran en échange de limitations strictes de son programme nucléaire, garanties par un régime d’inspections intensives . L’Iran acceptait notamment de brider drastiquement ses capacités d’enrichissement d’uranium, de réduire ses stocks de matières fissiles et de transformer certaines installations sensibles, de manière à rendre impossible la fabrication d’une arme atomique à court terme.

Or, en mai 2018, le président Donald Trump – qui jugeait cet accord insuffisant pour empêcher l’Iran d’accéder à l’arme nucléaire et critiquait l’absence de restrictions sur le programme balistique iranien – a annoncé le retrait unilatéral des États-Unis de l’accord . Washington a rétabli dans la foulée de sévères sanctions économiques contre Téhéran, visant en particulier les secteurs pétrolier et financier. Cette décision américaine a eu de lourdes conséquences diplomatiques : elle a creusé un fossé avec les alliés européens des États-Unis, décidés malgré tout à sauver l’accord, et a durement frappé l’économie iranienne. S’estimant lésée par le non-respect des engagements américains, l’Iran a progressivement commencé, à partir de 2019, à s’affranchir de certaines limites imposées par le pacte nucléaire . Téhéran a ainsi relancé l’enrichissement d’uranium à des niveaux prohibés par l’accord et accumulé des stocks excédant les seuils autorisés, tout en continuant de coopérer partiellement avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Les efforts des Européens pour maintenir un minimum d’échanges économiques (via un mécanisme dédié, INSTEX) n’ont pas suffi à compenser les effets du retour des sanctions américaines. En 2020, la pression maximale américaine et la riposte graduée iranienne avaient déjà conduit à une escalade dangereuse, marquée par des incidents militaires sérieux.

Une tension permanente entre Washington et Téhéran

Depuis la révolution de 1979, les relations entre les États-Unis et l’Iran sont marquées par la méfiance et l’hostilité, avec des périodes de crise aiguë. L’affrontement s’est intensifié à partir de 2018 sous l’effet de la stratégie de « pression maximale » adoptée par Donald Trump. Cette doctrine vise à isoler complètement l’Iran sur le plan économique et diplomatique, notamment en réduisant à zéro ses exportations de pétrole et en multipliant les sanctions internationales . L’administration Trump espère ainsi forcer Téhéran à accepter un accord plus contraignant, ou à défaut, affaiblir ses capacités à mener des activités régionales jugées déstabilisatrices. En réponse, l’Iran a opté pour une stratégie de « résistance maximale », cherchant à endurer les sanctions tout en affichant sa capacité de nuisance pour pousser les États-Unis à revoir leur position.

Ces dernières années ont vu une succession d’incidents et d’escalades illustrant la fragilité de l’équilibre américano-iranien. En 2019, des attaques de pétroliers dans le Golfe Persique, attribuées à l’Iran, et la destruction d’un drone américain par la défense iranienne ont failli dégénérer en confrontation armée ouverte. En janvier 2020, l’élimination ciblée du général Qassem Soleimani, puissant chef des forces Al-Qods, par une frappe américaine à Bagdad, a provoqué des représailles de Téhéran sous la forme de tirs de missiles sur des bases abritant des troupes américaines en Irak. Tout au long du conflit syrien et de la guerre au Yémen, des accrochages indirects se sont multipliés entre Washington et Téhéran à travers leurs alliés locaux respectifs. Plus récemment, en mars 2025, les États-Unis ont mené des frappes aériennes contre les rebelles Houthis au Yémen – alliés de l’Iran – après des attaques de ces derniers contre la navigation dans la mer Rouge, en avertissant Téhéran qu’il serait tenu pour responsable des actions de ses proxies . Chaque événement de ce type alimente les tensions et réduit la marge de manœuvre diplomatique entre les deux pays.

Malgré ces frictions, ni Washington ni Téhéran n’ont jusqu’à présent fermé complètement la porte au dialogue. Des canaux diplomatiques officieux ont existé (via le sultanat d’Oman notamment) et une alternance politique à Washington en 2021 avait brièvement ravivé l’espoir d’un retour mutuel au respect de l’accord de 2015. Toutefois, l’absence de progrès tangible et le retour de M. Trump à la Maison-Blanche en 2025 ont replacé les deux capitales sur la trajectoire de la confrontation. La méfiance est mutuelle et profondément ancrée : l’Iran voit dans les États-Unis un adversaire cherchant à provoquer un changement de régime, tandis que Washington considère les activités iraniennes – du nucléaire aux missiles en passant par le soutien à des groupes armés régionaux comme une menace majeure à contenir.

Rivalités régionales : Israël et les pays du Golfe en arrière-plan

Le bras de fer entre Washington et Téhéran ne se joue pas qu’à deux : il s’inscrit dans un contexte géopolitique régional particulièrement tendu. Israël, en premier lieu, se considère directement menacé par la perspective d’un Iran doté de capacités nucléaires militaires. L’État hébreu, qui qualifie régulièrement l’Iran de « menace existentielle », a applaudi la politique de fermeté de Donald Trump. Tel-Aviv coordonne étroitement avec Washington sa posture vis-à-vis de Téhéran . Ces dernières années, Israël a mené une campagne clandestine de sabotage et d’assassinats ciblés pour ralentir le programme nucléaire iranien (attaque informatique de Stuxnet, élimination de scientifiques iraniens, explosions sur le site de Natanz, etc.). Parallèlement, selon des sources américaines, l’armée israélienne a frappé fin 2024 plusieurs infrastructures militaires iraniennes – des sites de production de missiles et des systèmes de défense anti-aérienne en représailles à des attaques de missiles et drones attribuées à l’Iran au Moyen-Orient . Ces actions, non confirmées officiellement, auraient affaibli les capacités militaires conventionnelles de Téhéran. Israël a clairement fait savoir qu’il entend rester libre d’agir contre son « ennemi juré » iranien et qu’il souhaite être consulté sur toute initiative américaine concernant l’Iran, y compris d’éventuelles opérations militaires conjointes.

Les monarchies arabes du Golfe, rivales de longue date de l’Iran, jouent elles aussi un rôle important dans cette équation. L’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis ou encore Bahreïn voient d’un œil inquiet le développement du programme nucléaire iranien et l’influence grandissante de Téhéran dans la région (en Irak, en Syrie, au Liban et au Yémen). Alliés traditionnels de Washington, ces États du Golfe soutiennent globalement la ligne dure américaine vis-à-vis de l’Iran et redoutent qu’un Iran nucléaire ne bouleverse l’équilibre régional à leur détriment . La crainte est double : sécuritaire (être à portée de potentielles armes nucléaires iraniennes) et stratégique (risque d’une course à l’armement nucléaire dans la région, si par exemple l’Arabie saoudite cherchait à acquérir à son tour l’arme atomique) .

Dans le même temps, certains de ces pays du Golfe tentent de jouer les médiateurs pour éviter une conflagration. Les Émirats arabes unis, par exemple, entretiennent depuis quelques années un canal de communication discret avec Téhéran. C’est d’ailleurs un haut responsable émirati qui a servi d’intermédiaire pour remettre la lettre de Donald Trump aux Iraniens . Ce rôle d’entremise traduit une approche nuancée : dialoguer avec l’Iran pour réduire les risques immédiats, sans pour autant relâcher la méfiance ni la coopération sécuritaire avec Washington. De son côté, l’Arabie saoudite a récemment entrepris un rapprochement prudent avec Téhéran rétablissant des relations diplomatiques en 2023 après des années de rupture sous l’égide de la Chine. Riyad cherche ainsi à désamorcer certaines crises (comme la guerre au Yémen) tout en restant fermement opposé à ce que l’Iran puisse accéder à l’arme nucléaire. Ces rivalités régionales font donc partie intégrante du dossier : toute évolution des discussions américano-iraniennes aura des répercussions de Tel-Aviv à Riyad, et inversement, les positions d’Israël et des voisins arabes pèsent dans les calculs de Washington et Téhéran.

Washington et Téhéran : visions opposées sur le nucléaire

Au cœur de la confrontation se trouve le désaccord fondamental sur la nature et la finalité du programme nucléaire iranien. La position des États-Unis – soutenue par la plupart des pays occidentaux et Israël est que l’Iran ne doit en aucun cas pouvoir acquérir l’arme atomique. Washington exige donc des garanties renforcées et durables encadrant ce programme. Après 2018, l’administration Trump a formulé douze conditions pour un nouvel accord, élargissant la portée des exigences bien au-delà du seul nucléaire . Parmi ces conditions figuraient l’abandon par l’Iran de toute activité d’enrichissement susceptible de mener à une bombe, la cessation de son programme de missiles balistiques capables d’emporter des ogives nucléaires, ainsi que la fin de son soutien aux milices alliées au Moyen-Orient . En somme, les États-Unis cherchaient un accord « plus large et plus fort » qui empêcherait définitivement l’Iran de se doter de l’arme nucléaire et limiterait son influence régionale. À défaut de progrès diplomatique, la Maison-Blanche brandit la menace d’un recours à la force  directe ou via des alliés – pour détruire les infrastructures nucléaires iraniennes si celles-ci franchissaient la ligne rouge de l’armement.

L’Iran, de son côté, affirme avec constance que son programme nucléaire est entièrement pacifique et consacré à des objectifs civils : production d’électricité, usages médicaux et industriels, recherche scientifique. Les dirigeants iraniens démentent catégoriquement toute volonté de fabriquer une bombe atomique. Pour appuyer cette position, ils mettent en avant la fatwa (décret religieux) émise par l’ayatollah Khamenei interdisant la possession d’armes de destruction massive, y compris l’arme nucléaire, car contraires aux principes de l’islam . « La République islamique n’a absolument pas l’intention d’utiliser ses capacités nucléaires à des fins militaires », a ainsi déclaré le président iranien, en citant cette interdiction religieuse .

Néanmoins, les soupçons occidentaux à l’égard de Téhéran n’ont pas disparu. Les États-Unis et Israël rappellent que l’Iran a mené dans le passé (avant 2003) des activités nucléaires secrètes à visée potentiellement militaire. En 2018, Israël a révélé avoir saisi des archives iraniennes détaillant d’anciens projets de conception d’ogives, alimentant l’inquiétude sur l’existence de savoir-faire nucléaires militaires en Iran. Par ailleurs, l’Agence internationale de l’énergie atomique elle-même a fait état d’anomalies non résolues : la découverte de traces d’uranium non déclarées sur plusieurs sites en Iran reste sans explication satisfaisante à ce jour . L’AIEA continue de réclamer des clarifications à Téhéran sur ces traces liées à de possibles activités passées non déclarées, et déplore le manque de coopération sur certains volets.

Malgré ces zones d’ombre, l’Iran a respecté pendant un temps l’essentiel de ses engagements issus de l’accord de 2015. Jusqu’en 2019, l’AIEA a certifié que l’Iran respectait les limites nucléaires convenues, ce que Téhéran met en avant pour prouver sa bonne foi . Ce n’est qu’après le retrait américain et le rétablissement des sanctions que l’Iran a progressivement repris certaines activités sensibles. Aujourd’hui, il enrichit de l’uranium à 60 % de pureté, un niveau proche de la catégorie militaire (90 %) et sans justification civile selon les puissances occidentales . Téhéran accumule ainsi une quantité croissante d’uranium hautement enrichi plus de 270 kg selon le dernier rapport de l’AIEA potentiellement utilisable pour fabriquer plusieurs armes nucléaires en cas de décision de l’amener à 90 %. L’AIEA s’alarme ouvertement de cette situation : dans un rapport récent, son directeur Rafael Grossi a qualifié l’accumulation par l’Iran d’uranium à 60 % de « sujet de grave préoccupation », jugeant que le temps était compté pour freiner ces avancées par la diplomatie . L’agence onusienne souligne qu’aucun autre pays non doté de l’arme atomique n’a jamais produit un tel stock de matière fissile hautement enrichie .

Face à ces données techniques alarmantes, les capitales occidentales redoutent que l’Iran ne se rapproche du « seuil nucléaire » c’est-à-dire de la capacité d’assembler rapidement une arme si le choix en était fait. Washington et ses alliés estiment qu’il « n’existe aucune raison civile crédible » à un enrichissement à 60 %, et y voient une pression de l’Iran pour obtenir des concessions ou se doter d’une option militaire à terme. Téhéran rétorque qu’il a augmenté son programme nucléaire en réaction aux violations américaines de l’accord et qu’il reviendra en arrière si les sanctions sont levées et que les autres parties respectent, elles aussi, leurs obligations. En clair, chaque camp campe sur sa vision : pour les États-Unis, l’Iran semble se rapprocher dangereusement de la bombe ; pour l’Iran, ce sont les agissements américains (sortie de l’accord, menaces militaires) qui l’obligent à durcir sa position tout en restant officiellement dans le cadre d’un programme pacifique.

Une ouverture diplomatique perçue en Iran comme une menace déguisée

La lettre envoyée par Donald Trump à Ali Khamenei a été accueillie avec un mélange d’incrédulité et de suspicion à Téhéran. Du point de vue iranien, cette initiative souffre d’un sérieux problème de crédibilité : « C’est cette même personne qui a fait voler en éclats l’accord de 2015 », a rappelé le guide suprême, soulignant le revirement américain après l’alternance politique . Khamenei voit dans l’offre de dialogue de M. Trump « peu plus qu’un coup de pub pour tromper l’opinion » . Lors d’une allocution devant des étudiants, il a affirmé que négocier avec l’actuel gouvernement américain ne ferait pas lever les sanctions, arguant que Washington n’honore pas ses engagements . Le numéro un iranien a également déclaré que son pays n’a aucune intention de céder au « bullying » (intimidation) des grandes puissances . En clair, pas question de négocier sous la menace : si dialogue il doit y avoir, ce ne sera qu’après un véritable changement d’attitude de Washington.

Pour l’heure, l’Iran temporise donc, prudent. « Nous examinerons toutes les dimensions de la lettre et nous répondrons en temps voulu », répètent les officiels, tout en dénonçant le double discours américain fait d’appel au compromis et de pressions accrues . La simultanéité de la proposition de Trump avec de nouvelles sanctions et opérations militaires américaines dans la région nourrit l’idée à Téhéran qu’il s’agit moins d’une main tendue sincère que d’une tentative de forcer la main du régime iranien. Néanmoins, certains observateurs en Iran notent que cette lettre fait rarissime dans l’histoire récente des deux pays pourrait constituer une opportunité d’amorcer une désescalade, à condition que les États-Unis montrent des signes tangibles de bonne foi. Ainsi, le ministre Abbas Araghchi a concédé que l’initiative de Trump offrait aussi des « occasions à saisir », même s’il s’empresse d’ajouter qu’elles sont assorties de menaces inacceptables . Quelques voix modérées à Téhéran estiment qu’un dialogue serait envisageable si Washington réduisait la pression par exemple en allégeant certaines sanctions humanitaires afin de créer un climat propice.

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